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80s-de-l-ombre

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“ 2022, l'année du mieux ! ” - samedi 01 janvier 2022 05:02
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Création : 20/12/2007 à 09:23 Mise à jour : 27/06/2022 à 08:51

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3 articles taggés manolo aguilar

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L'ombre de la lumière Mecano - Entre el cielo y el suelo (1986)

L'ombre de la lumière  Mecano - Entre el cielo y el suelo (1986)
Après avoir été remerciés de CBS suite à des ventes en baisse (le 3e et dernier album de cette période avait pourtant encore atteint 100 000 exemplaires), les Mecano signent chez BMG... La maison de disques pourra se frotter les mains, car avec ce 4e album, Mecano donne une nouvelle impulsion à sa carrière, atteignant le million d'exemplaires vendus (le suivant fera encore plus).

Album essentiel à plus d'un titre, "Entre el cielo y el suelo" contient nombre de titres phares, à commencer par le tube international "Hijo de la luna".

Eh oui, cette magnifique chanson date bel et bien de 1986, alors qu'elle n'a été un hit chez nous qu'en... 1991! D'abord incluse dans l'album de 1988 pour la France, elle a été de nouveau insérée dans celui de 1991 en français avec le sous-titre "Dis-moi lune d'argent", tandis que les Italiens l'ont découverte en 1989 en tant que "Figlio della luna".

Etonnant: ce morceau qui est pourtant le plus connu du groupe n'est en fait que... le 5e et dernier single de l'album. Comme quoi les plus grands tubes ne sont pas forcément pressentis par les maisons de disques!

En premier extrait a été choisi le sympathique "Ay qué pesado", assez oublié, suivi par les magnifiques "Cruz de Navajas", "Me cuesta tanto olvidarte", et le rigolo "No es serio este cementerio".

Tout en conservant des boîtes à rythme saillantes, le groupe évolue vers plus d'acoustique et de douceur pour cet opus, qui contient nombre de chansons excellentes n'ayant rien à envier à celles retenues par le grand public.
Après des singles essentiellement signés par Nacho Cano au début des années 80, cet album confirme l'avènement de Jose-Maria Cano en tant qu'auteur-compositeur, avec (sauf le premier) les titres déjà cités, jusqu'à "Hijo de la luna", qui rencontrera finalement un impact tel que la promotion internationale s'axera ensuite sur ce dernier single. Ce qui fait que le clip de la chanson n'est en fait tourné qu'en 1991 lors de sa sortie chez nous (après un premier clip en 1989 pour la version italienne).

Attention: une grande confusion entoure l'exploitation de cet album!

Ci-dessous, je vous indique le tracklist original. Mais lors des rééditions et des importations, de curieux mélanges avec l'album suivant ont été réalisés. En France, "Descanso dominical", qui fait pourtant 14 titres à la base, n'en contient que dix, dont "Hijo de la luna", de fait absent du pressage français de "Entre el cielo y el suelo", qui, lui, en revanche, inclut "Laika", "Hermano sol, hermana luna", "Fábula", et "Héroes de la antardtida" (mais pas "Cruz de navajas", passé à la trappe!).
Peut-être pour donner un intérêt à l'achat d'un album alors non défendu chez nous par un nombre plus important de titres?

Là où ça se corse encore, c'est qu'il y a même encore des variations de tracklist en vinyle entre ces deux albums, où "Cruz de navajas" réapparaît au détriment à nouveau d'autres titres (il s'agit en fait de la toute première importation du disque chez nous, avant qu'il n'y soit réédité).

Bref. Pour terminer, ajoutons que CBS, se mordant les doigts d'avoir perdu ce qui allait devenir un des plus grands phénomènes de la pop espagnole, a tenté de surfer sur la vague en éditant diverses compilations au rabais d'anciens titres, ainsi qu'un trompeur "Lo ultimo de Mecano" (littéralement "le plus récent de Mecano") regroupant des titres hors album.

Paroles et musique: Nacho Cano (1, 2, 4, 6, 7, 10), Jose Maria Cano (3, 5, 8, 9)
Arrangements: Mecano
Voix: Ana Torroja
Claviers, guitares, voix: Jose Maria Cano, Nacho Cano
Batterie: Sergio del castillo, Peter Barnacle
Basse: Manolo Aguilar, Andy Passk
Photos: Alejandro Cabrera

1. Ay qué pesado**
2. Angel*
3. Hijo de la luna****
4. 50 palabras, 60 palabras o 100**
5. Me cuesta tanto olvidarte****
6. No tienes nada que perder**
7. Las curvas de esa chica*
8. No es serio este cementerio****
9. Cruz de navajas****
10. Esta es la historia de un amor***

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Tags : albums, mecano, 1986, ana torroja, josé maria cano, nacho cano, sergio del castillo, peter barnacle, manolo aguilar, andy passk, alejandro cabrera, CD albums, mes albums préférés
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#Posté le mardi 28 juillet 2015 07:33

Modifié le samedi 18 juin 2022 12:50

L'ombre de la lumière Mecano - ¿Dónde está el país de las hadas? (1983)

L'ombre de la lumière  Mecano - ¿Dónde está el país de las hadas? (1983)
Après un premier album qui s'est vendu en Espagne à un plus d'un demi-million d'exemplaires, Mecano récidive avec un second (dont le titre signifie littéralement: "Où est le pays des fées?") qui se vendra moitié moins (c'est-à-dire toujours beaucoup).

J'ai déjà pu dire que j'aime tous les albums de Mecano de manière quasi égale, et celui-ci ne fait pas exception.

Dans l'ensemble, nous avons affaire à des titres très rythmés et rapides, aux thématiques souvent assez juvéniles.

Quelques exceptions malgré tout: le titre d'ouverture n'est autre qu'un instrumental (comme il y en a dans un album sur deux de Mecano) qui, quoique façonné de synthés, n'est pas sans faire penser à une pièce de musique classique, "Un poco loco" (Un peu fou) qui est la seule vraie ballade de l'album (pas la meilleure du groupe), et "El ladrón de discos" (Le voleur de disques), surprenant morceau chanté essentiellement par Nacho lui-même sur des sonorités plus rock, qui amènent le groupe dans les couleurs qu'on ne lui connaît pas, et qui ne manque pas d'être probant malgré tout!

Malgré ces exceptions, la couleur des titres paraît moins diversifiée que dans le premier album. Il faut dire que Nacho avait signé tous les tubes du premier disques: la maison de disques mise sur le jeune frère, ce qui fait que sur cet album, el pobre Jose María se retrouve cantonné à trois titres seulement, le tout dans la pression de produire de nouveaux titres rapidement suite au succès commercial des premiers. Quant à Ana Torroja, elle ne dévoile pas encore toutes ses capacités vocales.
L'équilibre du groupe sera réellement trouvé sur l'album suivant, ce qui entraînera également un meilleur équilibre des albums eux-mêmes.

Ceci n'empêche que pris indépendamment, tous les titres sont bons, voire très bons.

Trois extraits seront proposés: "Barco a Venus" (Un bateau pour Vénus), "La fiesta nacional" (La fête nationale), et "El amante de fuego" (L'amant de feu). Seul le premier deviendra un tube. Mais quel tube! Selon moi un des meilleurs morceaux de Mecano.

En bonus track de la réédition 2005, une face B datant pourtant de la période précédente (qui fait sensiblement penser à "No es serio este cementerio", morceau bien plus abouti qui sera publié quelques années plus tard).

Paroles et musiques: Ignacio Cano, sauf 5, 8, 10 et 13: José María Cano
Arrangements: Luis Cobos et Mecano
Voix: Ana Torroja, Jose María Cano, Ignacio Cano
Claviers: Ignacio Cano
Guitares: José María Cano
Basse: Manolo Aguilar
Batterie: Javier de Juán
Pochette: Juán Oreste Gatti

1. ¿Dónde está el país de las hadas?**
2. Este chico es une joya**
3. La bola de cristal**
4. El amante de fuego*
5. Madrid**
6. Barco a Venus****
7. La fiesta naciónal**
8. Un poco loco*
9. No aguanto más**
10. Focas***
11. El balón***
12. El ladrón de discos**

Bonus track:
13.
Viaje espacial*

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Tags : l'ombre de la lumière, mecano, luis cobos, ana torroja, josé maria cano, nacho cano, albums, manolo aguilar, javier de juan, juan oreste gatti, CD albums, mes albums préférés
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#Posté le dimanche 18 janvier 2015 06:34

Modifié le samedi 18 juin 2022 12:51

L'ombre de la lumière Mecano - Ya viene el sol (1984)

L'ombre de la lumière  Mecano - Ya viene el sol (1984)
Bien avant de commencer à se faire remarquer en France, Mecano a roulé sur les routes du succès dans son pays natal, l'Espagne, et ceci dès le premier single "Hoy no me puedo levantar" en 1981, annonciateur d'un premier album qui se vendra à un demi-million d'exemplaires.

Après un second album qui se vendra moitié moins (c'est-à-dire toujours beaucoup quand même), Mecano revient avec cet album qui rencontrera encore moins de succès, passant à peine le cap des 100 000 exemplaires. Un chiffre toujours honorable, mais insuffisant selon CBS qui ne croit plus en Mecano.

Sans doute la maison de disques s'en est-elle amèrement mordu les doigts (contrairement à Ariola, chez qui a ensuite signé le groupe!), puisque l'album suivant, dans lequel se nichera entres autres "Hijo de la Luna", se vendra à plus d'un million d'exemplaires dans le monde, amorçant une spectaculaire remontée du groupe qui atteindra son apogée avec l'album suivant, "Descanso Dominical", qui, lui, s'arrachera à 2 millions d'exemplaires.

Mais revenons à ce troisième album, qui, s'il reste le moins vendu de l'histoire du trio, n'en consitue pas moins un disque réussi et une étape importante dans sa carrière.

Tout d'abord en ce qui concerne le son: tirant parti de l'avènement du fairlight et de leur collaboration avec Hans Zimmer, les frères Cano confèrent à cet opus un son résolumment plus moderne.
Ensuite en ce qui concerne la voix d'Ana Torroja: plutôt fragile jusque là, elle dévoile ici une palette plus importante de ses capacités vocales.
Côté textes, ceux-ci gagnent en maturité après deux albums nourris de sujets juvéniles (qui ont malgré tout fait leur premier succès).
Enfin, l'équilibre entre les deux frères, Nacho et José Maria, s'amorce. Les premiers tubes ayant tous été signés Nacho, la maison de disques a souhaité exploiter le filon jusqu'au bout en ne proposant en single que des titres signés par le plus jeune frère. Pourtant, dans cet album, après trois singles aux résultats décevants, le seul vrai succès sera "Hawaii-Bombay", signé pour la première fois José Maria, ce qui ouvrira la porte à de futurs succès, dont tous les tubes connus en France.

En somme, un très bon album (inconnu en France, même si j'ai eu la surprise de voir un jour "No pintamos nada" sur une compilation française d'époque), regroupant titres efficaces, compositions plus originales mais non moins intéressantes ("No pintamos nada" est un petit chef-d'oeuvre de composition!), et ballades délicates, que je vous invite à découvrir!

En plus, dans la version CD rééditée en 2005, est incluse la version maxi de "Hawaii - Bombay" en bonus track (dommage qu'il n'y ait pas celles des autres singles, "Japon", "Busco algo Barato" et "No pintamos nada", ainsi que l'excellente face B de ce dernier, "La extraña posición"****.)

Paroles et musique: Ignacio Cano (sauf 4,7,8: José Maria Cano, et paroles de 5: Ana Torroja)
Arrangements: Mecano
Programmations: Hans Zimmer
Basse: Manolo Aguilar, Andy Brown
Batterie: Javier Juan, Charlie Morgan, Arturo Terriza

1. No pintamos nada****
2. Ya viene el sol*
3. La estación**
4. Hawaii-Bombay*
5. Mosquito*
6. Busco algo barato**
7. AireØ
8. Me rio de Janeiro*
9. Japón***
10. El mapa de tu corazón**


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Tags : l'ombre de la lumière, 1984, mecano, ana torroja, nacho cano, josé maria cano, hans zimmer, manolo aguilar, andy brown, javier juan, charlie morgan, arturo terriza, CD albums, volume 9, albums, mes albums préférés
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#Posté le lundi 26 mai 2014 08:31

Modifié le lundi 26 mai 2014 10:37

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