
Groupe à qui l'on doit le célébrissime "Enola gay" en 1981, Orchestral Manoeuvres in the Dark (OMD pour les intimes) est à la tête d'une dizaine d'albums dans des genres plus ou moins différents.
S'il y a beaucoup de titres qui n'ont pas retenu mon attention (rien que le 2e titre ici, quoique non mauvais, n'arrive pas à me séduire), celui-ci, hommage à Louise Brooks, m'a immédiatement enthousiasmé, et continue de le faire avec les années.
Le maxi propose deux remixes réussis, le premier est celui qui s'apparente le plus à une maxi.
Il existe également un club mix plus ancré dans la veine de l'époque qui n'existerait apparemment que sur le maxi 45 tours.
S'il y a beaucoup de titres qui n'ont pas retenu mon attention (rien que le 2e titre ici, quoique non mauvais, n'arrive pas à me séduire), celui-ci, hommage à Louise Brooks, m'a immédiatement enthousiasmé, et continue de le faire avec les années.
Le maxi propose deux remixes réussis, le premier est celui qui s'apparente le plus à une maxi.
Il existe également un club mix plus ancré dans la veine de l'époque qui n'existerait apparemment que sur le maxi 45 tours.
1. Pandora's box****
2. All she wants is everythingØ
3. Pandora's Box (constant pressure 12" mix)***
4. Pandora's Box (Diesel fingers 12" mix)**